Il lui fallait la maîtrise, bien sûr. Le travail, même colossal, ne suffit pas. Il avait vécu l’expérience ultime. Il faisait fi de ses croyances et de son désespoir. Il aimait au-delà de sa raison. Il était fou et n’avait pas peur du ridicule. Heureusement ! Sinon Vlady Stévanovitch n’aurait jamais créé l’École de la Voie intérieure. Car :
 
« Notre époque est celle de la vulgarisation. De la vulgarité aussi. Pendant des siècles, des hommes se sont retirés du monde pour s’enfermer volontairement dans des monastères où ils se sont imposé une vie de discipline et de privation. Dans la solitude et le dénuement, ils ont cherché, pendant des siècles. Et ils ont trouvé. Ils ont atteint les sommets de la Connaissance. Ils ont pénétré dans les secrets de la vie dont ils ont appris à utiliser les possibilités bien au-delà des limites habituelles. Leur art était secret. Leur connaissance sacrée. Pendant des siècles, le secret et le sacré étaient les caractères de cette recherche et de la transmission de maître à disciple. Et c’était bien ainsi. »  Vlady Stévanovitch, La Voie du Tai Ji Quan
 
Aujourd’hui, les responsables de l’École de la Voie intérieure ont la même attitude qu’avait Vlady en la créant. Malgré l’époque, malgré l’actualité, ils propagent comme si on pouvait les entendre… 
 
C’est la principale raison qui m’a guidée en faisant ces vidéos.
 

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